Les gens parlent à Micro-trottoirs et partagent leur opinion sur la sortie du Royaume-Uni de l'Union Européenne.

Une inondation sévit à Paris car la Seine sort de son lit à la suite de pluies torrentielles et continues qui ont causé des dégâts. La statue d'un zouave sert d'indicateur pour les inondations et quand l'eau lui arrive jusqu'au niveau de l'épaule, il y a de quoi s'inquiéter.

Le drapeau français, bleu, blanc, rouge représente la royauté, le peuple et les couleurs de Paris. Le drapeau n'est pas seulement un symbole d'unité et de fierté mais aussi une source de tension car il représente aussi des minorités politiques contestées.

Lionel nous parle de la loi quarante-neuf trois au sujet de la loi de travail El Khomri. Le gouvernement a décidé de la passer en force, et s'est passé du vote de l'Assemblée Nationale et du Sénat. Pour une fois, cette loi est passée inaperçue car les étudiants (qui ont l'habitude de protester) n'ont rien dit.

Lionel continue la série Nuit Debout et nous explique que les avocats, appelés "Avocats Debout" ont rejoint le mouvement. Le gouvernement commence à faire quelques concessions.

Lionel est à Paris, la capitale où les gens se réunissent pour exprimer leur mécontentement. Ce mouvement s'organise et invente une codification, une sorte de langue des signes lors de ses réunions. Il y a même un calendrier différent!

Lionel nous parle d'un nouveau phénomène "Nuit Debout." Les gens en ont ras-le-bol et s'organisent. Ils se rassemblent dans la rue tous les soirs à partir de dix-huit heures et font leurs revendications. Ce mouvement prend de l'ampleur alors ne manquez pas le prochain épisode de cette série!

Olivier nous présente le village de Malicorne pour le premier épisode de Mon Village avec le maire de ce patelin. Et il s'en passe des choses dans ce joli petit village! Plein d'évenements extraordinaires comme un défilé d'éléphants, des fêtes bien entendu. Et la meilleure... Madame le Maire sait marcher sur l'eau... enfin à sa façon.

On a beaucoup entendu parler du journal satirique Charlie Hebdo mais pas assez du Canard Enchainé, d'après ce journaliste dans cette vidéo. Ce journal mérite l'attention des lecteurs et de la presse car celui-ci a aussi été victime de l'attentat de janvier sur Charlie Hebdo. L'un de ses dessinateurs, Cabu qui travaillait pour les deux publications fut l'une des victimes de cet attentat, et Le Canard Enchainé a été également sous le joug de menaces des parties extrémistes islamiques.

Dans ce vidéo-clip, le slameur Fabien Marsaud, alias Grand Corps Malade nous explique à travers les mots simples du petit Moussa que l'éducation nationale en France va mal. Fabien dénonce aussi l'injustice sociale et l’égalité des chances dans la réussite scolaire. Ce texte engagé vous touchera, c'est une garantie!

Dans ce nouvel épisode d'Alsace Vingt, Caroline nous présente Louise Geber et Cathy qui vont nous montrer leur collection de vêtements éthiques, tendance et bio. Si vous passez par Strasbourg arrêtez-vous dans le magasin de Louise pour renouveler votre garde-robe!

La manifestation de la semaine est une journée anti écran. On dit non au matraquage publicitaire qui envahit nos écrans de télévision, nos ordinateurs, et qui plus est, massacrent le paysage. Pour une manifestation, c'est un évènement qui ne manque pas d'entrain. La fanfare est au rendez-vous et met tout le monde de bonne humeur.

Les relations entre la France et le Québec sont très complexes et parfois tumultueuses. Tant et si bien que les politiciens font preuve de grande prudence dans la plupart de leur propos surtout en ce qui concerne la souveraineté. La politique de "non ingérence, non interférence" qui fût adoptée pendant une trentaine d'années fût abandonnée par Sarkozy mais reprise par François Hollande.

Dans cette chanson très emouvante Fabien Marsaud, AKA Grand Corps Malade a souhaité rendre hommage à sa façon à Charlie Hebdo. Il a choisi de le faire dans un slam qu'il explique avoir écrit la nuit dernière, et dont la mise en musique a été faite le matin même par John Mamann. « J'écris pour eux parce que je ne sais pas dessi­ner. »

Le débat sur l'indépendance du Québec continue et n'est sans doute pas près d'être conclu. En attendant il colore toute la politique du Canada, et on s'en accomode assez bien. Les Canadiens étant bienveillants et plutôt tolérants, les indépendantistes ou souverainiste et les fédéralistes se côtoient dans une relative harmonie.