Dans le septième épisode de cette série "Le Québec parle aux français" Olivier demande aux Québécois ce qui leur tient à cœur. Il y a bien sûr le fleuve Saint-Laurent... mais Olivier ne s'en tient pas là. Il veut savoir quel rapport les Québécois ont avec l'argent. Il explore les différentes valeurs économiques et sociales entre le Québec et la France et demande s'il est plus facile de faire des affaires en France ou au Québec.

Dans cette vidéo "micro-trottoir" les femmes sont interviewées dans la rue pour parler de leur revendications. En général, ces femmes réclament plus d’égalité entre hommes et femmes. Écoutez ce qu'elles ont à dire et jugez vous-même!

Alessandro nous emmène Direction les Puces de Saint-Ouen au Marché Dauphine où il y règne une atmosphère très particulière... Il parle aux propriétaires du magasin rétro, une véritable caverne d'Ali Baba avec des costumes allant de 1880 aux années 80. Même les propriétaires sont en costume pour mettre les clients dans l'ambiance!

Dans cette vidéo, Joanna nous fait découvrir son petit appartement. Parfait pour apprendre le vocabulaire de tout ce dont on a besoin dans une habitation !

Dans ce sixième épisode de la série, Le Québec parle aux Français, Olivier parle des immigrants en France et au Canada. Il semble que les immigrants qui arrivent au Canada s'intégrent assez facilement et jouent un rôle important dans la société. Ce n'est pas forcément le cas en France avec l'arrivée de nombreux immigrants dans ce petit pays par rapport au Canada.

Le Canada est une mosaïque de culture, un vrai bouillon de culture qui déborde quelque fois... Le gouvernement essaie de promouvoir l'harmonie. On parle même de la création d'une nouvelle nationalité québécoise.

Les Canadiens comme les Français tiennent à conserver leur langue qui est de plus en plus influencée par l'anglais. Le gouvernement canadien a pris des mesures pour préserver le français en inventant des mots plutôt que de les emprunter à l'anglais. Par exemple, le mot "courriel" a été adopté ou même le mot "pourriel" pour les couriers indésirables ou "spam" en anglais. Ce qui est surprenant, c'est que la France a plus tendance à utiliser certains mots anglais qu'au Canada et n'utilisent guère le mot "courriel".

On interroge les Essonniens (habitants de l'Essonne, une banlieue dans le sud de Paris) pour savoir ce qu'ils pensent des transports en commun. Les usagers des bus ne sont guère satisfaits car les passagers sont souvent impolis, voire même agressifs. Cela donne une mauvaise image aux touristes.

La situation de la langue française est complexe et controversée. Montréal était une ville anglophone jusque dans les années 1920, et ce n'est qu'à partir de l'adoption de la Loi 101 que le français est devenue la langue officielle du Québec. La loi n'a pas toujours été bien reçue, et la langue française n'en est pas pour autant protégée. D'après l'opinion de certaines personnes interrogées dans cette vidéo, la langue française est de nouveau dans une situation précaire avec l'apparition d'affichages en anglais, l'usage de l'anglais dans le monde des affaires, et même dans les magasins où on refuse de parler français.

Dans ce deuxième épisode "Le Québec parle aux Français", on explore les relations complexes entre les Français et les Québécois à travers l'histoire. On comprendra entre autres comment la langue a évolué et les ressentiments des Québécois qui découlent de la colonisation française.

À cause des conditions de circulation difficiles, les bus parisiens sont souvent en retard. Même les conducteurs de bus le reconnaissent volontiers. Alessandro, notre reporter, va à la rencontre des passagers à un arrêt de bus, et leur distribue des "patchs de bonne humeur", pour les aider à patienter avec le sourire.

Dans le premier épisode de ce documentaire sur le Québec, un jeune Français partage ses impressions sur le Canada. Avec quelques appréhensions il s'addresse aux Canadiens et leur demande ce qu'il pense des Français ou "franchouillards" comme on dit au Québec.

Lionel est à la brocante de Grundviller en Alsace où il fait des petites trouvailles de toutes sortes, une vieille casserole, une trousse de maquillage soit-disant pour sa fille qui n'a que quatre ans et de vieilles cartes postales de la main d'une ancienne élève de Picasso.

Alessandro nous emmène faire un tour au Salon du vin et des vignerons indépendants. Un tel salon est l'occasion de découvrir de nombreux vins et cépages mais également et surtout... de les déguster!
Afin de vérifier si les visiteurs dégustent avec modération, Alessandro ne vas pas hésiter à les faire souffler dans des alcootests. Découvrez les résultats.

Les Savoyards font le réveillon de la Saint Sylvestre au restaurant O’Communailles au coœur de la montagne. Ils sont là pour déguster de bons produits locaux et s’amuser dans la convivialité.